Comment Dominique JONGBLOED est-il entré en possession des Carnets de routes du major WEASLEY ? Back to Agartha expedition - Mardi 4 septembre 2018 Dominique JONGBLOED a fait l’acquisition de ces carnets de manière très étrange : par le biais d’un inconnu l’ayant contacté sur Internet un soir de décembre 2005 sur Internet. Mais je préfère qu’il vous raconte cela lui-même : Ce qui précéda, longtemps avant, l’écriture des romans d’Aventures de la saga SHAMBALA, et pourquoi ces ouvrages ont été écrits comme ceux de Platon, pour l’Atlantide : en glissant la vérité au milieu de l’imaginaire tout en laissant des indices pour que le lecteur distingue le vrai du faux, s’explique par un fait étrange, une intervention qui reste encore aujourd’hui pour moi une énigme ... C’était un soir de décembre 2005. Un soir comme tous les autres soirs, où je mettais en forme le livre qui allait bientôt faire de moi un personnage public et l’une des références les plus sérieuses sur l’étude des civilisations situées après l’époque du Déluge biblique :”Civilisations antédiluviennes”. J’étais devant mon ordinateur, branché sur Internet comme d’habitude, ma boite email en veille. Il faut dire que j’entamais la préparation du dernier tiers de mon tour du monde à la recherche d’une explication sur les 50.000 vestiges divers (de menhirs ou de roches sculptées à des constructions immémoriales et insituables dans le temps ...), éparpillés sur la planète. J’étais de repos, chez moi, à Aix en Provence, pour quelques semaines encore ...avant un nouveau voyage. Alors que minuit venait de sonner, je reçus soudain un étrange email provenant d’un lieu inconnu situé aux USA : un mystérieux internaute m’invitait à consulter des fichiers condensés joints à son courrier et me laissait un bien étrange message : « je crois en vous et vos recherches. Je sais que vous êtes le chercheur le plus avancé en ce qui concerne l’Histoire de l’Asie et de l’Inde, du moins à ma connaissance. Je connais vos travaux sur l’Agartha et Shambala, que vous menez depuis 1990, car j’étais à l’une de vos conférences privées, celles que vous donniez à de tous petits groupes, avec le soutien d’AMORC. Je suis venu tout spécialement des USA pour cela. Ce que je vous dévoile ici n’est qu’une toute petite partie d’une grande révélation qui doit être réalisée. Vous êtes, à mon sens, la seule personne digne de se rendre là où ces carnets vous invitent à aller ... Votre forte connaissance des textes anciens et sacrés, votre spiritualité exceptionnelle, qui m’ont été révélées lors de cette conférence, m’ont décidé de vous choisir car ce sont des conditions essentielles pour ce qui va vous être proposé. Je n’ai plus l’âge ni la force pour continuer de détenir un si important secret, une si lourde responsabilité. Je vous en prie, acceptez de consulter ces fichiers puis contactez-moi pour que je vous propose l’entièreté de cette révélation. Je m’en remets à vous, je suis traqué, et je n’ai plus beaucoup de temps pour passer le relais. Il est temps que l’humanité affronte la vérité sur son passé. Il est temps pour elle de changer de paradigme et de changer la face du monde, de ceindre à nouveau la couronne de l’Age d’Or. » L’email n’était pas signé. Je crus d’abord à un pirate voulant s’en prendre à mon ordinateur mais après un téléchargement, puis un contrôle antivirus négatif des fichiers joints, je les ouvris avec beaucoup de curiosité. Je découvris alors des fichiers PDF contenant des photographies visiblement prises dans le noir et où seul le flash de l’appareil photo permettait d’éclairer les photos nettement, tout en laissant un halo de noir autour de celles-ci. L’appareil était visiblement fixé au dessus des photographies et celles-ci avaient été glissées sous le support pour pouvoir être capturées par l’appareil. Ces illustrations représentaient des pages d’un carnet constitué apparemment de parchemins reliés entre eux par un tressage de fines cordelettes. Sur ces images, en noir et blanc, peut être pour augmenter le contraste, se trouvaient des dessins visiblement tracés à la plume et à l’encre de Chine. A côté, ou en dessous, de chaque dessin se trouvait une écriture fine, très petite, comme pour économiser de la place, penchée vers l’avant et écrite dans ce que je devinais être de l’Anglais ... Toutefois de nombreux mots me paraissaient étranges pour ne pas dire inconnus (bien que je ne sois pas un expert en ce domaine). N’étant pas un linguiste professionnel (du moins pas dans les langues vivantes, je suis plus doués pour les langues mortes ou raréfiées) et encore moins un cryptoanalyste (bien que j’ai quelques bonnes notions), je fis appel le lendemain à l’un de mes amis, traducteur de textes anciens et féru de langues antiques, de codes et de symboliques, mais aussi du passé des langues actuelles, tel l’ancien Roman- François, pour le Français par exemple. Je proposais alors à celui-ci de m’aider à traduire les textes et à décrypter les symboles inscrits sur le haut, à droite, de chaque page, ainsi que parfois dans la marge droite ... Après plusieurs jours, il s’avéra que la langue écrite ici était de l’Anglais mais pas de l’Anglais contemporain : de l’Anglais tel qu’on le parlait entre 1890 et 1930 ! Un anglais parfois châtié, parfois relâché, avec des expressions qui ne sont plus usitées à présent. Les texte semblaient décrire le quotidien d’un voyage, en expliquant avec force détails les illustrations croquées sur les pages. On trouvait également des références aux livres indiens les plus anciens, comme le Ramayana et le Mahabharata, mais aussi à d’autres - plus obscurs - que je connaissais toutefois. Selon mon ami il y avait un réel intérêt à en savoir plus sur ce carnet. J’entrepris alors de recontacter mon mystérieux interlocuteur, ne serait-ce que pour le remercier de ce fabuleux cadeau. Je lui dis, par email, que j’étais très intéressé par l’acquisition de ces carnets et lui demandais comment devais-je m’y prendre pour l’acquérir. Sa réponse, étrangement laconique, me demanda si je possédais au moins 50.000 euros ! C’était étrange car j’étais le seul à savoir que je gardais cette “poire pour la soif”, en liquide, chez moi ... au cas où ... Il ne me connaissait pas mais savait des choses sur moi que seuls mes très proches connaissaient (et encore). Je lui répondis que oui. Il me donna alors RDV à Londres, en Angleterre, dans une célèbre salle des ventes, un jour très précis à une heure très précise, et me demanda de me procurer le catalogue des ventes de ce jour. Il m’indiqua ensuite un numéro de lot et de me dit d’enchérir uniquement sur ce lot. Quittant la France la veille du jour dit, je participais dès le matin à l’ensemble des formalités et ventes ... jusqu’à l’heure dite : 19h00. Le lot se présenta à moi alors que la salle était pratiquement vide, à part quelques curieux en fond de salle. J’enchéris sur le lot, comme convenu ... et fus surpris de voir que personne ne semblait s’intéresser à celui-ci, sauf moi bien sûr ! La vente fut donc rapide et j’acquis alors une boite en fer de belle dimension et très ancienne apparemment, je dirais fin XIX° début XX°, scellée et cadenassée. J’étais tellement baigné dans une ambiance “quatrième dimension” que je ne pris même pas la peine de l’ouvrir, pour vérifier ce qu’il y avait à l’intérieur. Je décidais de quitter la salle des ventes avec mon bien pour mon hôtel. Demain je serais en France et découvrirais alors son contenu avec mon ami traducteur. J’avais tout à la fois hâte de l’ouvrir et en même temps je ressentais comme une étrange impression, comme celle que devait avoir eu Pandore ... Que contenait donc de si précieux ces carnets ? Ils relatent en fait l’expédition menée par WEASLEY de 1923 à 1925, à la tête de plus de 39 hommes, sur la trace de Shambala et du Royaume d’Agartha … qu’il aurait trouvé ! Parti de Mulbay en 1923 sur la base d’un travail de recherches scientifiques faites par lui et l’un de ses compagnons d’aventures, au sujet de la fabuleuse cité de Shambala et du royaume oublié d’Agartha, il relate jour après jour tous les détails des évènements de chaque journée en alimentant le texte par des croquis à la plume et à l’encre de Chine. Des illustrations de plus en plus incroyables au fur et à mesure que l’on suit l’expédition et que celle-ci s’enfonce dans des régions inexplorées du globe, quelque part dans l’Himalaya. Fait troublant, WEASLEY raconte notamment son entrevue à Delhi avec un certain James CHURWARD, ancien Colonel de la même armée que lui, ayant servi dans le même service que lui ... à l’époque où celui-ci, épris des mêmes types de recherches, parcourait l’Inde à la recherche d’indices sur le « continent » perdu de Mu. Ils auraient échangé des informations qui visiblement manquait au Major pour entreprendre son périple. Composés de six carnets de toile et cuir reliés par de la cordelette ou des boyaux d’animaux, chaque carnet contenant 100 feuilles, ces carnets détaillent l’expédition en tous points et permettent ainsi, semble-t-il, de refaire celle-ci pas à pas . Premier détail troublant : les coordonnées géographiques ont été encodées selon un système complexe de cryptage utilisé pendant la première guerre mondiale, comme pour en interdire l’accès au néophyte ou au curieux. Second détail : si les carnets semblent avoir été écrits par un homme en possession de toutes ses facultés, sur les premiers opus, les derniers semblent être le fait d’un personnage troublé, torturé par le doute, l’angoisse, une certaine forme de paranoïa. Les dessins, très précis et détaillés sur les premiers carnets, sont réduits à des épures sur les derniers. Ils restent précis mais semblent vouloir masquer certains détails … pourquoi ? Revenu seul survivant de son expédition, le 3 mars 1925, WEASLEY, surgit des neiges de l’Himalaya, hirsute, hagard, à demi-fou, extrêmement éprouvé physiquement, racontant qu’il avait trouvé et visité la cité abandonnée de Shambala et l’ensemble du royaume d’Agartha, que l’humanité était originaire de cette cité et qu’elle était en grand danger ! De lui, malgré des recherches intenses de la part de l’auteur, l’on ne sait presque rien, sinon qu’il fut apparemment officier dans l’armée britannique dans les années 1905 à 1925. Mis en retraite après son incroyable aventure, il est rapatrié aux USA où il s’était installé un temps et où il mourut dans la nuit du 29 au 30 Août 1930, au sein de l’hôpital où on l’avait mystérieusement enfermé, ayant probablement perdu la raison des suites de sa terrible expédition… mais en persistant dans le fait qu’il avait bien trouvé l’Agartha. Cet étrange personnage semble avoir été visité en avril 1930 par le non moins étrange écrivain H.P LOVECRAFT qui fit, lors de cette visite et du fait même de WEASLEY, l’acquisition des carnets de routes dont Dominique JONGBLOED aujourd’hui possède, semble-t-il une très fidèle copie conforme aux carnets d’origine ( à moins que ce ne soient les originaux car leur analyse surprit tout le monde, moi et mon entourage). L’auteur ne peut répondre à cette question mais à la lecture de ces carnets, il a décidé de mettre sur pied une expédition afin de vérifier les dires du Major. Toujours est-il que d’autres faits surprennent JONGBLOED : A cette date sort le fameux livre de James CHURCHWARD « Mu, le continent perdu », qui aura le succès retentissant que l’on connaît … Un an plus tard, H.P LOVECRAFT, résidant à Providence (où WEASLEY mourra reclus), divorce de sa femme, fait le vide autour de lui (il n’aura plus jamais d’épouse) et met en forme le fameux mythe de CTHULHU (qui pourrait être une codification antédiluvienne d’un étrange texte retrouvé dans l’Inde impériale britannique sur une poterie : Ce talak u elak u ). La signification de ce texte n’est pas encore clair pour Dominique JONGBLOED, (malgré le fait qu’il soit l’un des spécialistes mondial de la langue des origines). Lorsqu’on lit les carnets du major WEASLEY on est surpris d’y retrouver - quasi mot pour mot - certains passages du livre de LOVECRAFT « Les montagnes hallucinées », alors que ces carnets sont antérieurs ... Que voulait transmettre l’écrivain en reportant la description de la ville dans son roman ? C’est pour répondre aux multiples questions et énigmes que posent ces carnets que Dominique JONGBLOED met aujourd’hui sur pied cette expédition … ©2018 - Dominique Jongbloed - Tous droits réservés pour tous pays - Reproduction interdite sans accord écrit.